Montréal, Canada
September 30, 2003
Terra Nostra Technology , through
Corporation CCIP, its Canadian subsidiary, has concluded a
research partnership with the Armand-Frappier Institute
Corporation CCIP, a wholly-owned Canadian subsidiary of
Terra Nostra Technology
Limited, has concluded a research partnership with the
Armand-Frappier Institute leading to the use of an
entomopathogene mushroom against the Colorado potato beetle.
The Colorado potato beetle is the most important insect ravaging
potato, tomato and eggplant crops. In North America and Europe,
581 million $US are spent every year to counter this insect
linked to the potato. If not controlled, this insect destroys
80% to 90% of the crops.
The Armand-Frappier Institute, a component of the "Institut
national de la recherche scientifique" (INRS), plays a vital
role in research, training and technology transfers in the areas
of human, animal and environmental health. In environmental
biotechnology their goal is to increase knowledge on
micro-organisms in their own surroundings so as to use them in
areas of bioremediation, nutraceutics and biomass valorization
as well as biological alternatives to pesticides that are
polluting the environment. The institute has approximately fifty
faculty members.
Researchers appointed to this contract will also have to compare
the efficiency of this micro-mushroom's basic formula to that of
other chemical insecticides contaminating the environment and to
which the Colorado potato beetle is developing certain
resistance. It is important to remember that potato crops
require more pesticides than any other market crop and if there
weren't any efficient method to fight the Colorado potato
beetle, potato fields would practically be destroyed.
Tests done in laboratory against the Colorado potato beetle are
very productive, with an average destruction rate of 95%. This
research partnership, which will be spread out over the next few
months, will aim at confirming this efficiency in the field. The
company counts on approving this product by the end of the year
2004.
Terra
Nostra Technology, par le biais de sa filiale canadienne
Corporation CCIP, a conclu une entente de recherche avec
l'Institut Armand-Frappier
Montréal, le 30 septembre 2003 - Corporation CCIP, filiale à 100
% canadienne de Terra Nostra Technology Limited, a conclu une
entente de recherche avec l'Institut Armand-Frappier menant à
l'utilisation d'un champignon entomopathogène contre le
doryphore de la pomme de terre.
Le doryphore, est la plus importante des pestes qui attaque les
cultures de la pomme de terre, de la tomate et des aubergines.
Il est dépensé en Amérique du Nord et en Europe 581 US.$ million
annuellement pour contrer la peste reliée à la pomme de terre. A
lui seul, s'il est non contrôlé, il détruit 80 a 90% des
cultures.
L'Institut Armand-Frappier, composante de l'Institut national de
la recherche scientifique (INRS), contribue à la recherche, à la
formation et aux transferts technologiques dans le domaine de la
santé humaine, animale et environnementale. En biotechnologie
environnementale, son but est d'accroître les connaissances sur
les micro-organismes dans leur milieu en vue de les utiliser
dans le domaine de la bio restauration, du bio alimentaire, de
la valorisation de la biomasse et de la lutte biologique comme
alternative aux pesticides qui polluent l'environnement. Il
regroupe une cinquantaine de professeurs-chercheurs.
Les chercheurs désignés à ce contrat de recherche devront aussi
comparer l'efficacité de la formulation à base de ce
microchampignon à celle des autres insecticides chimiques qui
contaminent l'environnement auxquels le doryphore développe une
certaine résistance. Il faut se rappeler que la culture de la
pomme de terre nécessite plus de pesticides que d'autres
cultures maréchères et s'il n'y avait pas de méthodes de lutte
efficaces contre le doryphore, les cultures de pommes de terre
seraient pratiquement détruites.
Les test effectués en laboratoire contre le doryphore ont une
très haute efficacité avec une moyenne de 95% de tuerie. Cette
entente de recherche qui s'échelonnera au cours des prochains
mois aura pour objet de confirmer cette efficacité sur le
terrain. La société compte homologuer ce produit d'ici la fin de
l'année 2004. |