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Canadian Food Inspection Agency:
Canada’s protocols for potato cyst nematode sampling and detection
Protocoles canadiens d’échantillonnage et de détection du nématode à kyste de la pomme de terre
Ottawa, Canada
August 9, 2006

Canada’s protocols for potato cyst nematode sampling and detection

The Canadian Food Inspection Agency (CFIA) uses internationally accepted methods to test soil and root systems for the presence of Potato Cyst Nematode (PCN). PCNs do not pose a risk to human health, but can cause extensive damage to potatoes and other plants such as eggplants and tomatoes. The remains of female nematodes attach to the roots of potatoes and form cysts (or spheres), which contain up to 500 eggs and can survive for decades.

To illustrate the work involved, on a 10-acre field, scientists would be tasked with the lengthy process of finding a nematode, 100 times smaller than the length of a sewing needle, in 57 kilograms of soil. Due to the complex process of identifying the presence and species of PCN, the CFIA relies on the expertise of nematologists to make final confirmations.

Testing potato roots

On PCN-infested potato plants, it is possible for CFIA inspectors to identify the presence of PCN visually under a microscope and with assistance from laboratory diagnostics. After the flowering stage, white, yellow, or brown cysts about the size of a pin head can be found on a potato plant’s root system. To obtain an accurate idea of whether PCN is present, 3000 root systems from each suspect field must be analysed.

Testing soil

Collecting samples
Core soil samples are collected using a grid pattern of 8 paces throughout a field. At the end of each eighth pace, a probe measuring 23 cm by 36 cm collects soil to a depth of 20 cm. Thirty consecutive core samples constitute one testing sample for laboratory analysis. Each testing sample weighs about 2 kilograms. This method will produce two and a half 2-kilogram sample bags per acre.

Laboratory testing
Once the samples are sent to labs, they must be aired out for the cysts to dry. After this period, water is added back to the sample to separate the cysts from the soil. The soil will absorb the water quicker than the cysts, and if any cysts are present, they will float to the surface from where they can be collected using a sieve.

Scientists must then determine the number of cysts present and the species of nematode. There are several species of nematodes, two of which are quarantined in Canada: Golden Nematode (Globodera rostochiensis) and Pale Cyst Nematode (Globodera pallida).

Scientists can determine the species of nematode through morphology (analysis of form and structure), by counting the number of ridges on a cyst’s body, and by measuring the length of the feeding tube of juvenile nematodes. Using Polymerase Chain Reaction (PCR), scientists can confirm the species of nematode based on DNA sequencing.

For more information

Contact your local CFIA office or visit the following webpage:

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Protocoles canadiens d’échantillonnage et de détection du nématode à kyste de la pomme de terre

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) utilise des méthodes reconnues mondialement pour analyser le sol et les systèmes radiculaires afin de détecter la présence du nématode à kyste de la pomme de terre (NKP). Le NKP ne présente pas de risque pour la santé humaine, mais il peut causer des dommages importants aux pommes de terre et à d’autres végétaux tels que les aubergines et les tomates. Les restes des femelles nématodes s’attachent aux racines des pommes de terre et forment des kystes (ou sphères), qui contiennent jusqu’à 500 oeufs et peuvent survivre pendant des décennies.

Pour illustrer ce que cela implique, dans un champ de 10 acres, les scientifiques seraient chargés d’accomplir la longue tâche de trouver un nématode, 100 fois plus petit qu’une aiguille, dans 57 kilogrammes de terre. Compte tenu de la complexité du processus de détection de la présence du NKP et d’identification de l’espèce de NKP en cause, l’ACIA s’appuie sur des nématologistes pour les confirmations finales.

Analyse des racines de pomme de terre

Sur les plants de pomme de terre infestés, les inspecteurs de l’ACIA sont en mesure de détecter la présence du NKP visuellement au moyen d’un microscope. On utilise aussi des épreuves diagnostiques réalisées en laboratoire. Après la floraison, on peut trouver des kystes de couleur blanche, jaune ou brune ayant la taille d’une tête d’épingle dans le système radiculaire d’une pomme de terre. Pour savoir précisément si le NKP est présent, il faut analyser 3000 systèmes radiculaires de chaque champ suspect.

Analyse du sol

Prélèvement d’échantillons
On prélève des carottes à l’aide de la méthode du quadrillage fondée sur des distances de 8 pas. À tous les 8 pas, on introduit une sonde mesurant 23 cm par 36 cm qui prélève de la terre à une profondeur de 20 cm. Trente carottes consécutives constituent un échantillon d’analyse en laboratoire. Chaque échantillon d’analyse pèse environ 2 kilogrammes. Cette méthode donne deux sacs et demi d’échantillons de 2 kilogrammes par acre.

Analyse en laboratoire
Une fois que les échantillons sont envoyés au laboratoire, ils doivent être aérés afin que les kystes sèchent. Ensuite, on ajoute de l’eau aux échantillons afin de séparer les kystes de la terre. La terre absorbera l’eau plus vite que les kystes et, s’il y en a, les kystes flotteront à la surface et on pourra les recueillir avec un tamis.

Les scientifiques doivent ensuite déterminer le nombre de kystes présents et l’espèce de nématode. Il existe plusieurs espèces et deux d’entre elles sont justiciables de quarantaine au Canada : le nématode doré (Globodera rostochiensis) et le nématode à kyste pâle (Globodera pallida).

Les scientifiques peuvent déterminer l’espèce de nématode en procédant à un examen morphologique (analyse de la forme et de la structure), en comptant le nombre de crêtes sur le corps d’un kyste et en mesurant la longueur du tube d’alimentation des jeunes nématodes. À l’aide de la réaction en chaîne de la polymérase (PCR), les scientifiques peuvent confirmer l’espèce de nématode en se fondant sur le séquençage d’ADN.

Pour plus de renseignements

Communiquez avec votre bureau local de l'ACIA ou consultez le page Web suivante :

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